Les Insensés - création 2021
Ancien Monastère de Sainte-Croix (sortie de résidence) : 15 mai
ACCR St-Jean en Royans (sortie de résidence) : 24 mai
Le Pot au Noir ( 1ère ) :29 mai
Théâtre Le Fenouillet : 5 juin
La Fontaine Minérale : 19 juin
Ville de Livron-sur-Drôme : 24 juillet
été 2021 : tournée Rhône-Alpes
Les Insensés - création 2021
Ancien Monastère de Sainte-Croix (sortie de résidence) : 15 mai
ACCR St-Jean en Royans (sortie de résidence) : 24 mai
Le Pot au Noir ( 1ère ) :29 mai
Théâtre Le Fenouillet : 5 juin
La Fontaine Minérale : 19 juin
Ville de Livron-sur-Drôme : 24 juillet
été 2021 : tournée Rhône-Alpes
Les Insensés - création 2021
Ancien Monastère de Sainte-Croix (sortie de résidence) : 15 mai
ACCR St-Jean en Royans (sortie de résidence) : 24 mai
Le Pot au Noir ( 1ère ) :29 mai
Théâtre Le Fenouillet : 5 juin
La Fontaine Minérale : 19 juin
Ville de Livron-sur-Drôme : 24 juillet
été 2021 : tournée Rhône-Alpes
Les Insensés - création 2021
Ancien Monastère de Sainte-Croix (sortie de résidence) : 15 mai
ACCR St-Jean en Royans (sortie de résidence) : 24 mai
Le Pot au Noir ( 1ère ) :29 mai
Théâtre Le Fenouillet : 5 juin
La Fontaine Minérale : 19 juin
Ville de Livron-sur-Drôme : 24 juillet
été 2021 : tournée Rhône-Alpes
La Grande Rando Giono
GRG
Prélude de Pan par les chemins
DU 5 AU 27 SEPTEMBRE 2024,
le comédien Baptiste Relat et le musicien Sammy Decoster parcourent 260 km à pied, depuis le pays de Manosque dans les Alpes de Haute Provence jusqu’à Cliousclat, dans la Drôme.
Tous les soirs, ils s’arrêtent dans un village pour jouer PRELUDE DE PAN dans sa forme « tout chemin », et repartent le lendemain, réalisant 15 étapes / 14 représentations. L’évènement est organisé en amont et en complicité avec un lieu - non-nécessairement dédié à la représentation.
L’imaginaire de Jean Giono puise en partie sa force poétique et narrative des paysages de la Provence. Pour les deux artistes, traverser ce pays au rythme lent et savoureux de la marche est une façon d’absorber encore un peu plus de cet imaginaire, de s’y refondre, de laisser le spectacle et leur sensibilité se modifier au gré des rencontres.
Cette aventure immersive leur permet d’emprunter les chemins vivants entre habitants et artistes, entre un territoire et une œuvre. En faisant dialoguer les thématiques du spectacle avec les dynamiques concrètes, cette Grande Rando Giono cherche à dessiner la carte d’un nouvel imaginaire où les visions rejoignent (parfois) les réalités.
« J’étais l’homme et j’avais tué tout espoir. La bête mourrait de peur sous ma pitié incomprise ; ma main qui la caressait était plus cruelle que le bec du freux. Une grande barrière nous séparait (..) Il en a fallu de nos méchancetés entassées pendant des siècles pour la rendre aussi solide. »
Extrait de La grande barrière, Jean Giono
Prélude de Pan interroge le rapport entre les hommes et le Vivant, leur négociation plus ou moins consciente pour co-exister au cœur d’un même monde. Giono admet cette relation comme un échec, uniquement contenue dans un rapport de force qui n’a de cesse d’ériger toujours plus haut la grande barrière, entre eux infranchissable.
Mais en creux, il nous invite à envisager ce lien sous un autre angle : le besoin de la réconciliation et la possibilité d’un pacte d’amour.
Aujourd’hui, quelles négociations de paix avons-nous menées sur nos territoires avec le reste du vivant, et en particulier avec le monde sauvage ? Qui en sont les acteurs et quelles sont leurs tentatives pour reconstruire cette relation ? Et si ce n’est pas encore l’harmonie parfaite, quels équilibres ont été trouvés ?